Les campagnes de sensibilisation publiques et les reportages sur les ransomwares* n’ont de cesse de nous alerter, pourtant la plus grosse faille de sécurité se situe encore entre la chaise et le clavier.
65 % des e-mails de phishing sont ouverts par les personnes ciblées et dans 12 % des cas, les destinataires cliquent sur la pièce jointe.
Pourquoi se fait-on encore piégé ?
D’une part, parce que la forme et le contenu de ces e-mails sont de plus en plus sophistiqués et s’assimilent à des courriers familiers (contact que l’on connait, fichiers office…) et d’autre part parce que les victimes sont débordées ou trop distraites et cliquent machinalement ou par inattention.